Nous avons beau vouloir croire que nos enfants sont parfaits, la dure réalité est qu’aucun d’entre eux ne l’est.
Je ne veux pas dire que la majorité des parents ne font pas leur travail – loin de là – mais simplement que l’enfance est une courbe d’apprentissage abrupte, au cours de laquelle pratiquement tous les participants commettront des erreurs qu’ils regretteront en y repensant.
Peut-être que ce qui importe le plus lorsque de telles choses se produisent n’est pas ce qui s’est réellement passé, mais plutôt la manière dont l’enfant en question en tire les leçons et va de l’avant.
C’est précisément pour cette raison que nous introduisons très tôt le concept de punition : un enfant fait quelque chose de mal et il est contraint de subir les conséquences de cet acte. Cela lui donne une leçon simple et, avec un peu de chance*, il ne recommencera pas.
Bien entendu, les punitions peuvent varier en degrés, allant d’une simple tape sur les doigts à des méthodes que l’enfant fautif ne risque pas d’oublier.
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