Le deuxième groupe – dont Monarda fistulosa est le représentant le plus important du point de vue horticole – est plutôt originaire des prairies. Les représentants de ce groupe aiment plutôt le sec et le soleil. Celui qui souhaite enrichir sa plate-bande de plantes vivaces d’un orpin indien ne devrait donc pas seulement se laisser guider par l’aspect et la couleur des fleurs, mais également tenir compte des exigences de l’emplacement. Si une orchidée n’est pas placée au bon endroit, il faut la replanter.
En ce qui concerne le sol, toutes les orties ont des préférences similaires : Il doit être perméable et riche en substances nutritives, l’eau stagnante dans le sous-sol est indésirable. Il est préférable de planter au printemps, afin de leur épargner un hiver humide qui provoque souvent des pertes, surtout chez les jeunes plantes. Si l’on soupçonne la présence d’eau stagnante dans le sol, il faut incorporer un peu de sable grossier ou de gravier au fond du trou de plantation. Là où le sol est relativement pauvre, on l’enrichit avec du compost au printemps.
Conseil n° 2 : tailler régulièrement les orties indiennes
Pour conserver la vitalité des orties indiennes, il est préférable de tailler les hybrides après la floraison, à une main du sol. Le feuillage frais apparaît alors rapidement. Petit bémol à cette mesure: on renonce ainsi à l’aspect hivernal tout à fait attrayant. En revanche, la taille n’est pas obligatoire pour les orties indiennes monovariétales. Il faut diviser tous les trois ans les rhizomes qui vieillissent rapidement.
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