Perte soudaine de connaissance.
La victime ne respire plus ou possède une respiration très irrégulière.
La victime ne réagit pas, même quand on la stimule.
L’arrêt cardiaque peut également être précédé de palpitations ou d’un malaise général, mais il peut aussi survenir brutalement.
Lorsqu’il est causé par un infarctus du myocarde, il peut y avoir des signes avant-coureurs comme : une douleur thoracique prolongée pouvant s’étendre jusqu’au bras gauche, une sensation d’oppression, de serrement voire d’écrasement.
Chez la femme, dans 8 à 10% des cas, apparaissent également une grande fatigue, des nausées et des douleurs au dos, aux épaules ou à l’estomac.
Dans ce cas, il est indispensable d’agir très rapidement. L’arrêt cardiaque est mortel en quelques minutes s’il n’est pas pris en charge, mais une intervention rapide peut faire repartir le cœur et éviter de lourdes séquelles. Il faut alors appeler le 15 (SAMU) ou le 112 (numéro d’appel d’urgence) et pratiquer un massage cardiaque en attendant les secours.
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